Miku_Sweet little girl?

Don’t you know who I am?

.

Feat Miku Hatsune ;
Immature-Capricieuse-Taquine.

« Age : 17 ans, du moins en apparence.
« Métier : Donne des cours de piano ou des concerts, selon ses envies.
« Race : Sorcière
« Habitation : Underground, dans la maison familiale de la sorcière rose.
« Don/pouvoir : Miku peut voir l’avenir proche à volonté, en se concentrant, et parfois par flashs subits.
« Armes : Aucune.
« Secret:

Spoiler:

Don’t you think I look cute? ;

Mignonne, n’est ce pas? Au premier abord, Miku à tout d’une charmante demoiselle. D’une taille moyenne, elle trône habituellement du haut de son mètre soixante cinq, bien droite, la tête haute, en une posture royale, un air hautain ou absent sur le visage, mais déteste particulièrement une chose : qu’on la dépasse. Il faut dire qu’un de ces grands plaisirs est de toiser les gens de haut, d’où sa gêne face à Kaitô notamment, mais chuuut ! Son visage poupin d’une pâleur de neige, est orné de deux grands yeux verts, mis en valeur par de longs cils, étranges yeux qui ne manquent de provoquer l’admiration ou l’étonnement de son interlocuteur, drôle de regard insondable, tantôt brillant et enfantin, tantôt sombre et scrutateur, ou pire… parfois entièrement vide, lorsqu’il arrive à la demoiselle, de se perdre, immobile, les yeux dans le vague. Un petit nez fin et retroussé, des lèvres rosées qui s’ornent parfois en un sourire, taquin, hypocrite, mais rarement sincère cependant, des joues ornées de tâches de rousseur, un menton émacié, et un front, un peu trop grand à son goût, qu’elle s’efforce de cacher par une frange, complètent ce visage de poupée . Car malgré ces airs de bonne enfant, la jeune fille a rarement tendance à manifester d’émotions, choses qu’elle juge inutiles et pathétiques, car signes de faiblesse, et préfère cacher derrière ce masque pâle et insondable. Difficile, voir impossible, de deviner ce que celle-ci pense.

Miku est jolie, et le sait, et n’hésite donc pas à jouer de son charme, afin de parvenir à ses fins, affichant tantôt des comportements d’adorable fillette, ou de gamine aguicheuse, selon la personne se trouvant en face d’elle. Coquette, elle aime se mettre en valeur, essayer des coiffures extravagantes pour sa longue crinière turquoise, aux cheveux fins et ondulés, qui lui arrive jusqu’aux mollets, et dont elle est particulièrement fière. Belle chevelure d’un vert brillant, qu’elle teint régulièrement, afin d’affirmer sa différence par rapport aux autres, elle qui leur est si supérieure, de se faire remarquer aussi. Oui, la jeune fille est aussi un brin narcissique… Quand à son corps, celui-ci est aussi agréable à voir que le reste de son visage. Un cou de signe, de petits seins arrondis, des membres longs et graciles, tout aussi pâles que le reste de son visage. Anatomie qu’elle n’hésite par à mettre en valeur par diverses tenues extravagantes, tantôt des robes à froufrous et à rubans, aux décolletés plongeants, et ne lui arrivant souvent qu’aux genoux, afin de mettre en valeur ses jambes frêles, tantôt par des uniformes d’écolières, des petites robes d’été légères, même en plein hiver, et j’en passe… Mais méfiez vous des apparences. Qui sait ce que cache véritable cette mignonne jeune fille ?

Sweet little brat? ;

Au premier abord, Miku semble être une mignonne jeune fille, douce et taquine, si ce n’était par son côté pourrie gâtée, qui se révèle très vite. Un brin narcissique, la jeune fille se considère au dessus des autres, car une fille aussi belle et parfaite qu’elle ne peut qu’être le centre du monde, les autres ne sont là que pour satisfaire ses caprices, les autres, créatures inutiles, dont le seul rôle devrait être de l’amuser. Souvent particulièrement immature, égoïste, la sorcière ne se soucie que de son plaisir personnel, et est aussi particulièrement têtue, lorsque celle-ci a un but en tête, difficile, voir impossible de l’en dissuader, et elle utilisera tout les moyens à sa disposition, ruse, charmes… pour arriver à ses fins. Les autres, elle aime les dominer, se jouer d’eux, comme elle apprécie de taquiner les jumeaux par exemple, oh n’y voyez rien de particulièrement cruel, Miku est juste une grande enfant qui ne veut pas grandir. Une gamine qui s’ennuie, qui habituée depuis toute petite à être choyée comme une reine, est persuadée que tous lui doivent admiration et services. Tantôt d’une franchise perturbante, tantôt parfaite hypocrite, la jeune fille sait s’adapter à son interlocuteur et abandonner ses airs d’enfant capricieuse, lorsque celle-ci sait que ceux-ci ne lui seront d’aucune inutilité. Ainsi, la sorcière rose, qui a toujours su la traiter avec un brin de sévérité, est une des rares personnes à ne pas subir ses crises. Car oui, lorsque ses désirs ne sont pas satisfaits, Miku est capable d’entrer dans de vives colères, où cris, coups, voir simulacres d’évanouissements se succèdent, ce qui se révèle être une tactique particulièrement efficace, surtout auprès des domestiques. Détestant les règles, elle n’hésite pas à les franchir pour le simple plaisir de désobéir, de rajouter un peu de piment, d’excitation dans cet existence qu’elle juge trop monotone. Maintes fois il lui est arrivé de se cacher à travers la maison afin d’échapper à son précepteur, de s’enfuir de la demeure en secret, afin d’aller se balader dans l’Underground, ou dans le monde des humains, enfin, escapades qu’elle n’ose du moins plus faire la nuit, encore traumatisée par la rencontre d’un lycan, lors de sa première fuite. D’ une fierté, souvent mal placée, elle est prête à relever tout les défis, mais déteste perdre et est donc particulièrement mauvaise joueuse, et trouvera tout les prétextes possibles pour discréditer la victoire de son adversaire, n’hésitant pas à faire appel à une mauvaise foi sans bornes. Oui, la jeune sorcière peut parfois se révéler être une véritable peste, ce qui plus profondément, trahit son ennui, et sa quête d’attention. N’ayant jamais connu ses parents, Miku a longtemps eu du mal à se former sa propre identité, tout ses souvenirs provenant de l’époque où elle fut élevée par la sorcière rose, l’une des rares personnes qu’elle estime plus qu’elle-même et qu’elle considère comme une sœur. Elle déteste cette vie qu’elle juge trop monotone, où les cours de piano, la lecture, les concerts qu’elle donne parfois, ne parviennent pas à la distraire, malgré la gloire que lui apportent ces derniers, petite fille rêve d’ailleurs, d’une autre vie, d’autre chose. C’est vague, c’est flou, comme ce cœur d’enfant qu’elle n’arrive plus à contrôler. Miku a aussi une crainte importante : celle d’être abandonnée. D’où une quête constante d’attention, un besoin maladif d’exister à travers le regard des autres. Autre chose, celle-ci déteste l’amour, qu’elle juge niais et inutile, et préfère se proclamer libre et sans attaches. Mais voilà, il y a Kaitô… Kaitô qu’elle n’a pu chasser de ses pensées depuis leur première rencontre, dont les yeux sombres la hantent à travers ses rêves, et ces joues qui rougissent, ce cœur qui bat à sa simple vue, fichus symptômes qu’elle ne peut pas contrôler, pas comprendre, ne veut pas comprendre. Hein, qu’avez-vous dit ? Amou… quoi ?!
Au fond, ses airs hautains de petite princesse sont surtout des airs qu’elle se donne. Malgré tout, la petite sorcière est une jeune fille capable de s’attacher aux autres, se trouve être en réalité plus mature qu’il ne le paraît, et peut se révéler, être une très bonne confidente. Plus sensible qu’elle ne le laisse croire en somme…

This means nothing to me… ;

Yeah she had a name…

Je n’ai jamais connu mes parents. Tout mes souvenirs remontent du temps où la sorcière rose me recueillit, m’éleva et me donna le nom de Miku. Je ne sais jamais de quelle manière elle m’a recueillit, ni si mes parents m’ont abandonnée, pourquoi, ou qui ils étaient. Au fond tout cela n’a aucune importance, à l’intérieur de moi, il n’y a qu’un grand vide, comme ce nom que je porte. Miku. Quatre petites lettres creuses, qui ne veulent rien dire. Peut être autrefois avais un véritable nom, d’autres gens qui m’ont aimée, un passé, qui désormais n’existe plus. Je ne crois pas que tout cela soit injustice. J’ai juste appris à accepter les choses. Ou peut être était ce par fatalité. Au final, je n’ai plus qu’un visage auquel m’accrocher, celui de la sorcière rose, qui m’a élevée depuis ma plus tendre enfance, et deux syllabes qui résonnent dans le creux de ma tête. Miku.

J’ai toujours admiré la sorcière rose, sa froideur, sa tendresse, sa puissance, tout cela provoquait en moi, fascination et étonnement. Au fond j’aurai toujours voulut qu’elle ne regarde que moi, et ne pouvait m’empêcher de ressentir une pointe de jalousie, lorsque je la voyais s’occuper d’autres membres de la famille. J’aurai voulut n’exister qu’à travers ses yeux, comme elle n’existerai qu’à travers les miens, en bonne petite fille égoïste et possessive que je suis. Peut être est ce aussi parce que je n’ai pas appris à aimer autrement.

People have Hope;
Because the can’t see Death standing behind them…

Si je devais choisir un mot pour caractériser mon enfance, ce serait Ennui. Il y a toujours ce creux à l’intérieur de moi, cette sensation de vide qui m’aspire de l’intérieur, cet abîme dans mon cœur et dans ma tête, que je n’arrive pas à chasser. Poussé par la sorcière rose, je me mis au piano, et progressai très rapidement, tout le monde s’extasia devant mes talents et me poussa à me produire en public, ce que je finis par faire. Mais malgré tout, les ovations, mes doigts glissant agilement sur les touches, la musique qui semblait en sortir comme par magie, toute cette vie qui naissait sous mes doigts, je ne parvenais pas à être enthousiasme. Mêmes gestes mécaniques, doigts qui parcourent monotonement les touches que je répétai en boucle. Cela n’avait aucun sens. Oui, malgré les domestiques qui me choyaient, malgré les nombreux précepteurs que la sorcière faisait venir pour moi, je ne parvenais pas à me distraire. Parfois, je m’installais à la fenêtre et observais les passants affairés, les autres enfants jouant à travers les rues, toute une foule grouillante, que je détaillais de haut, un sourire méprisant sur les lèvres. Pathétiques.

Un jour, un étrange incident m’arriva. Alors que je lisais, tout disparu soudainement, comme si le monde autour de moi s’envola dans le néant, alors qu’une image implosa à travers mon crâne, avec une netteté terrifiante, la route, la carrosserie d’une voiture, et à quelques mètres de là, le cadavre d’une femme, ses membres désarticulés baignant dans une flaque de sang, le regard vide, tourné vers le ciel. Apparition vive qui ne dura que quelques secondes, alors que surprise et terrifiée, je refermai mon livre, le cœur battant.

Quelques heures plus tard, je marchais avec la sorcière rose, à travers les rues de Londres, une course que nous devions faire, si je me souviens bien, quand nous aperçûmes un attroupement. Par curiosité, nous nous approchâmes, quand soudain, je sentis mes jambes chanceler, et les battements de mon cœur redoubler d’intensité, alors qu’une sueur froide me dégoulina le long de la colonne vertébrale. Là, à quelques mètres de moi, au milieu de la foule, le cadavre d’une femme, ses grands yeux inexpressifs levés vers moi…

Horrifiée, je me penchai contre le caniveau alors qu’une bille amère me jaillit de la gorge. Ce fut la première fois que je découvris mon pouvoir.

You could give me anything but love…

L’amour? Ne me parlez pas de ce sentiment méprisable. Mièvrerie stupide, à laquelle les êtres humains s’accrochent, pathétiques comme ils sont. Entraves qu’ils se posent eux-mêmes. Comment peut-on délibérément s’enchaîner à quelqu’un d’autre ? Stupide. Pathétique.

Je me souviens d’un soir, la sorcière avait encore introduit un nouveau protégé. Curieuse je m’approchai du nouveau venu, afin de le taquiner, et de fièrement apparaître aux cotés de la sorcière, afin qu’ils voient que j’étais bien sa préférée, quand soudain, pour la première fois, je m’arrêtais net. Devant moi, se tenait un garçon aux étranges cheveux bleus, aux yeux sombres, qui me lança un regard dénué d’émotion, avant de me tourner le dos. Et malgré la rage qui bouillonnait en moi, comment avait-il pu m’ignorer ainsi, ne savait t’il pas qui j’étais, je ne pus que rester là, les joues brûlantes, le cœur tambourinant. Ce fut la première fois que je rencontrais Kaitô.

Euh… qu’est ce qui m’avais amenée à parler de cela déjà ?

And dreaming I’m alive…

-Miku! Miku où êtes vous passée?

Avec un sourire, je sors du placard, devant lequel la bonne vient de passer. Non, je n’irai pas faire mes leçons. D’autres affaires plus importantes m’appellent.

Telle une ombre je me glisse hors de ma cachette, traverse la chambre, jusqu’à la fenêtre, que j’enjambe avant de sauter au dehors, étant heureusement au rez-de-chaussée. Trottinant d’un pas joyeux je rejoins la rue et m’engouffre parmi les passants, alors que les cris de ma servante résonnent toujours à l’intérieur de la demeure. Plus que la rue et l’agitation des foules, j’aime cette sensation de plaisir, d’excitation, qui m’envahit, lorsque je m’amuse à braver les interdits. Je me rie d’eux et de leur impuissance, je suis fière, je suis libre, alors que je me pavane devant les vitrines, parmi tout ces gens pressés que je détaille sans gêne.

Parfois… parfois je les regarde, les mères trainant leurs gamins braillards, les vampires et leurs démarches royales, dont le passage m’arrache des sueurs froides, les couples enlacés, bah qu’ils sont méprisables ceux là, les enfants qui jouent sur les pelouses, je les regarde et je ne peux pas m’empêcher de me demander… et moi dans tout ça ? Si j’étais née ailleurs, si je n’avais pas ce pouvoir, que serais je devenue ? Car oui, je peux voir l’avenir. De manière incertaine ou très proche, par flashs rapides, pouvoir que j’utilise souvent, consciente et fière de son importance, mais qui au fond… me fait peur. Car celui-ci m’a appris une chose. Il n’y a qu’un seul avenir. Tout est déjà écrit. C’est bien un sentiment humain cela, de croire à l’espoir. Maîtres de notre destin, laissez moi rire. Moi je sais qu’il n’y a pas d’avenir. Moi j’admire et je méprise leur insouciance. Moi je n’ai ni passé ni futur. Juste deux syllabes qui meurent doucement à travers l’infini.

Miku.

(Les citations sont de, par ordre d'apparition, Muse, Bleach, Apocalyptica et Muse <3)

Who are you? ;

Bienvenue, merci d'avoir prit ce personnage^^
Et bien! Suis-je si tyrannique pour imposer seulement une semaine! XDD
Je pensais que c'était assez xD
Si tu as besoin de temps préviens-moi évidemment^^
Bon courage x)

Fiche terminée <3
(en fait mon histoire fut moins longue que prévu ^^)

Une nouvelle victime pour mes crocs...
Soyez la bienvenue très chère. Amusez~vous bien parmi nous et surtout, ne mourrez pas trop vite... Je veux goûter à votre chaire avant qu'elle ne pourrisse.
Prenant le temps de lire votre fiche, j'ai pu déceler quelques fautes par~ci par~là, mais rien des plus alarmantes. J'ai comme l'impression que le personne est bien incarné, mais ce n'est qu'une impression...
Je suppose qu'il n'y aura pas d'objection au fait que je valide cette fiche, alors encore une fois... Bienvenue parmi les nôtres... * S'incline et prend congés. *

Très bonne fiche x)
J'aime beaucoup ce personnage et tu l'incarnes parfaitement x)
J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous^^

Merci à tout les deux! =D
Noche je me ferai un plaisir de me laisser mordre par vous <3
Et j'ai corrigé les fautes que j'ai trouvé, j'espère ne pas en avoir oublié T__T.

Bienvenue à toi Jeune Sorcière... *S'incline* Hu Hu Hu ^.^